Combien de séries dans une vie ?
On est souvent stupéfait par le nombre de séries que les golfeurs disent avoir utilisées. Certes, ils sont sont fortement incités au changement par le marketing des marques grand public , Mais qu’en est-il rééllement ?
Sur le plan strictement technique, on peut ici affirmer que, trois ou quatre séries dans une vie seront , généralement, le maximum véritablement utile pour un golfeur au cours de sa carrière ( sous la réserve d’un renouvemmement rendu parfois nécessaire par l’usure due à un usage intensif).
Une première série, extrêmement tolérante qui pourra d’ailleurs être la suite du demi ensemble débutant, permettra d’aller de la carte verte jusqu’à un index inférieur à environ dix huit. On pourrait d’ailleurs utilement continuer plus bas avec cette série, et à scorer brillamment, mais on recherchera alors, peut-être, des sensations plus fines, c’est à dire donnant plus d’indications sur la manière dont la balle est impactée. On s’orientera alors vers une série en acier forgé de type « cavity back ». Puis, si l’on progresse toujours, on souhaitera peut-être, tant par souci hédoniste qu’à la recherches de sensations permettant de mieux « travailler » la balle, s’orienter vers une série composée en totalité ou en partie de têtes en forme de lames (muscle back). Et si l’on s’est mis assez tard au golf, une série largement composée de fers hybrides sera l’idéal pour parvenir rapidement au plaisir du jeu.
Bien entendu, en fonction de ses progrès, si l’on a commencé assez jeune, il pourra être utile de changer de shafts et d’équilibrage et, le cas échéant d’affiner la composition de la série vers le haut en troquant hybrides contre fers et vers le bas en allant vers des wedges plus fins, mais aussi plus délicats à jouer. Une démarche analogue pourra conduire, avec l’âge, ou après une maladie à faire revoir ses clubs pour les alléger ou en revoir les shafts, sans qu’il soit besoin de tout changer.
Mais on peut également avoir l’instinct du collectionneur et entrer en possession de tel ou tel ensemble en acier forgé réputé par sa qualité peut apporter un plaisir exceptionnel…, si les têtes correspondantes sont en rapport avec son niveau de jeu.
Bien entendu, en fonction de ses progrès, si l’on a commencé assez jeune, il pourra être utile de changer de shafts et d’équilibrage et, le cas échéant d’affiner la composition de la série vers le haut en troquant hybrides contre fers et vers le bas en allant vers des wedges plus fins, mais aussi plus délicats à jouer. Une démarche analogue pourra conduire, avec l’âge, ou après une maladie à faire revoir ses clubs pour les alléger ou en revoir les shafts, sans qu’il soit besoin de tout changer.
Mais on peut également avoir l’instinct du collectionneur et entrer en possession de tel ou tel ensemble en acier forgé réputé par sa qualité peut apporter un plaisir exceptionnel…, si les têtes correspondantes sont en rapport avec son niveau de jeu.